Vendée Globe, semaine 4 : lutter contre soi-même
La Semaine du Vendée Globe #4 : décryptage de la semaine avec Jacques Amedeo et retour sur la course du skipper segréen Fabrice Amedeo et du bateau mayennais de Maxime Sorel.
7 décembre 2020 à 11h58 - Modifié : 7 décembre 2020 à 12h38 par Coralie Juret
Fabrice Amedeo à bord de Newrest-Art et Fenêtres le 2 décembre 2020
Crédit : Fabrice Amedeo
Survenu lundi 30 novembre, le naufrage de Kévin Escoffier a beaucoup marqué les concurrents du Vendée Globe. Une casse jamais vue et un sauvetage brillamment réussi par le Roi Jean qui a rappelé à tous, les multiples dangers que recèlent les océans. Des OFNI (objets flottants non identifiés) ont d'ailleurs été la cause des abandons d'Alex Thomson (Hugo Boss), Sam Davies (Initiatives Coeur) et Sébastien Simon (Arkéa-Paprec) qui se sont retrouvés à Cape Town, en Afrique du Sud.
Coincé dans l'anticyclone de Sainte Hélène, Fabrice Amedeo (Newrest-Art et Fenêtres) s'est fait violence la semaine dernière pour ne pas laisser tomber face aux portes qui se sont successivement refermées devant lui. Le bizut Maxime Sorel (V and B-Mayenne) voit lui la course sous un angle différent, seul avec lui-même, lui qui avoue vivre à 100 à l'heure.
Alice, en 5e au collège Alfred Jarry de Renazé a demandé à Jacques Amedeo quel était le bilan de son fils Fabrice après un mois de course. Réponse ci-dessous.
Rendez-vous chaque samedi à 11 h 30 sur Oxygène Radio (103.3 dans le Haut-Anjou, 90.1 à Laval) avec Jacques Amedeo, pour la semaine du Vendée Globe.