Pierrick Capelle avant PSG-Angers : "Bien sûr qu'il faut y croire"
Avant le choc de la 18e journée de Ligue 1, PSG-Angers, ce mercredi soir, Pierrick Capelle s'est confié à Oxygène Radio. Le joueur de 35 ans évoque notamment les ingrédients que son équipe devra mettre en place pour réaliser l'exploit au Parc des Princes.
Publié : 11 janvier 2023 à 16h37 - Modifié : 11 janvier 2023 à 17h08 par Clément Lemaître
Pierrick Capelle et les Angevins n'y arrivent toujours pas.
Crédit : Cyprien Legeay/Oxygène Radio
Pierrick Capelle, vous avez affronté le PSG à dix reprises depuis votre arrivée à Angers. Vous étiez présent à Raymond-Kopa lors du match nul (0-0) en 2015. Quels sont les ingrédients pour inquiéter le Paris Saint-Germain ou au moins gagner un point ?
Il faut surperformer et faire un match hors du commun. Défensivement, il faut surtout être solide. Toute l'équipe doit être au top de sa forme et avoir de la réussite. Il faut que ce soit un jour un peu spécial. Surtout, il faut concrétiser les quelques occasions que l'équipe pourra se procurer.
Lors de la saison 2021-22, Angers a perdu dans les toutes dernières secondes au Parc des Princes (2-1), à la suite d'un penalty accordé aux Parisiens...
J'y étais ce soir-là. On avait ouvert le score (ndlr : par l'intermédiaire d'Angelo Fulgini) et cela ne nous était jamais arrivé auparavant. On avait été quand même solides lors de cette rencontre. Après en deuxième mi-temps, il s'était passé des petits faits de jeu. Mais c'est vrai qu'on n'était pas loin.
Comment est-on avant d'affronter Lionel Messi et Neymar ?
Je dirais qu'on commence à avoir l'habitude (sourire). La première fois, ça fait quelque chose, forcément. Au départ, il y a beaucoup de respect et on est un peu impressionné. Mais après, une fois qu'on est sur le terrain, il faut oublier tout ça. On est bien conscients qu'il y a énormément de qualités chez eux. Après, c'est à nous de faire notre match et de nous concentrer sur nous-mêmes car ça reste des humains.
Croyez-vous l'exploit possible mercredi soir ?
Bien sûr qu'il faut y croire, sinon ce n'est pas la peine d'y aller. On n'entame pas un match pour le perdre. A partir de là, on fera le maximum.